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Fredda

Parmi les étoiles inondées d’errance…
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Albums

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Phosphène

By Fredda
Release date: 2023
Available now on:
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Bisolaire

By Fredda
Release date: 2020
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Biographie

Nouvelle vie affective, nouveau cap artistique et l’impression de retrouver ce flot de lumières et d’émotions qui l’envahissait lors de l’enfance à Saint-Dié dans les Vosges. La tête tourne de tant de liberté mais c’est aussi ce qui fait le charme enivrant de ce disque : Fredda s’aventure un peu plus à être elle-même. Matt Low, échappé de The Delano Orchestra et complice de Jean Louis Murat, vient épauler cette mue avec des musiciens maîtrisant à merveille le chemin noueux entre l’influence folk et une pop lumineuse. L’arrangeur Pascal Parisot complète ce travail d’orfèvre en distillant subtilement quelques synthés analogiques, le mordant des claps, quelques cuivres et les envolées de chœurs célestes. Comme le frottement de deux silex, l’étincelle de « Phosphène » nait de ce relief : le chaud du bois des guitares et la peau des batteries caressent tandis que défile le film mouvementé d’une nouvelle vie en cours d’éclosion.

Après la spontanéité des répétitions à Clermont-Ferrand, ce sont les prises live dans le mythique studio Black Box à Angers qui contribuent à faire de cet album un disque vivant, proche de la sincérité qui la faisait vibrer adolescente en écoutant Neil Young, un écrin parfait pour sa plume nourrie par son rapport sensuel à la nature et au corps. Fredda aime provoquer des images et l’encre de ses tatouages coule sur le livret de cet album, comme de petits trésors de poésie exprimant toutes les humeurs par lesquelles passe ce retour à soi et cette transformation. Et la lumière dans tout ça ? Les phosphènes qui strient le ciel de son imaginaire sont d’abord d’autres femmes éprises comme elle de liberté, de Mata Hari (« Aube ») jusqu’à l’indienne Mirabaï (« Refuge ») en passant par Marilyn Monroe (« Argent ») pour une adaptation en français tout aussi charmante que l’original de « One Silver Dollar » qui figurait sur la B.O du film « La rivière sans retour ». Fredda se nourrit de ses mille vies, c’est l’enfant sauvage et effrontée de « Viens avec moi » qui nous invite à danser malicieusement dans le courant, c’est aussi la voyageuse et l’aventurière, les phosphènes troublant sa vision entre le jour et la nuit, cet espace de « Dorveille » tout trouvé pour s’inventer un territoire vierge où tout est permis. Elle apprécie logiquement l’esthétique contrastée des films de Murnau tout comme les âmes tourmentées des peintres romantiques. On croise donc aussi sur le magnifique et écolo « Nordique Ophélique » l’Ophélie de Shakespeare qui chante alors qu’elle se noie, victime de la fonte de la banquise. Les phosphènes n’en scintillent que plus dans l’obscurité, voilà sans doute pourquoi magnificence et mortel danger semblent sans cesse se côtoyer sur ce disque d’émancipation qui fait aussi quelques clins d’œil à l’Amérique, celle qui a façonné les rêves de Fredda jusqu’à lui brûler les ailes lors de ses jeunes années. Le souffle de Morricone n’est pas très loin sur le sensuel « Cheveux Serpents » où s’entremêlent sa voix et le timbre grave de Matt Low. Et ce souffle se transforme en tempête sur un « Vent diable » aussi redoutable que libérateur inspiré par le passage du cyclone Irma sur les Antilles. Il y a dix titres sur ce nouvel album, dix chansons qui électrisent les sens et nous portent donc vers l’inconnu et son contraire : la connaissance de soi. Un parcours initiatique délicat et passionnant qui nous susurre à l’oreille qu’errance peut aussi rimer avec jouissance.

« Et soudain tout s’éclaire, corps flottants de lumières. Amour phosphène parmi les étoiles inondées d’errance… ».

Fredda a joué, écrit et co-réalisé ce nouvel album avec Pascal Parisot. Le disque a été enregistré par Peter Deimel au Black Box studio et mixé par Yann Arnaud. Elle sera très bientôt sur la route en France et en Allemagne entre autres, en solo ou en groupe, pour partager les lueurs de « Phosphène ».

– Christophe Crenel

Vidéos

Presse

Phosphène (2023)

« Fredda enrichit à nouveau la chanson indépendante française d’une précieuse pépite que l’on n’a pas fini de chérir. » – Indie Pop Rock

« Phosphène. Ce mot rare, qui traduit la sensation de voir une lumière ou des corps-flottants, sied bien à la magnétique chanteuse Fredda. Qui renvoie la lumière aussi bien qu’elle l’attrape. Phosphène, son septième album, en est une illustration lumineuse. » – RFI

« Toujours aussi bien entourée avec la bande à Matt Low, Fredda nous laissera bouche bée avec ce disque si captivant. L’écriture se fait plus lumineuse et touchante, sur des morceaux parfaitement bien arrangés. » – Les Oreilles Curieuses

« Plus que jamais, la musique est exaltante, incandescente. » – Mandolino

« Fredda offre une pop rythmée, tout en délicatesse, sur des images fugaces, ces phosphènes qui défient la perception. » – Hexagone

« Soulignons en outre l’excellence musicale de l’album, qui porte les titres et ravit l’oreille. Un travail soigné, réalisé par son habituel complice Pascal Parisot. De la pop-folk variée et mélodieuse, lumineuse et enlevée. Un flash de rythme dans la grisaille quotidienne. Comme un phosphène, quoi. » – Nos Enchanteurs

Bisolaire (2020)

« Ce nouvel album de Fredda vient la consacrer comme l’une des plus subtiles et précieuses chanteuses de la scène française. » – Indie Pop Rock

« Un songwriting lumineux et poétique à la hauteur de sa voix limpide, et porté par les arrangements de Pascal Parisot et les samples de Nicolas Repac.  » – Martingale

« Fredda, la simplicité du beau. Moins rock qu’une Grande Sophie, plus diaphane qu’une Emma Daumas, Fredda s’impose avec ce Bisolaire comme un rayon de soleil perçant les nuages noirs, un éclair de beauté dans le quotidien morne, un apaisant murmure de ruisseau. À goûter et partager sans modération. » – Nos Enchanteurs

« Fredda propose sans doute son ouvrage le plus intime et le plus objectif de son œuvre. En résumé le plus abouti. » – Cultures Co

« Un disque remarquable, un alliage parfait entre une chanson française dont nous n’aurions pas honte, et des touches chaudes d’une Amérique qui voyait grand. » – Bibliothèque de Sceaux

Fredda

Phosphène (n.m.) :  sensation de voir une lumière ou des corps flottants.

Le nouvel album de Fredda est donc celui des étincelles dansant la nuit sous les paupières.

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