« Je ne voulais pas d’un album solo, je ne voulais pas d’un autre groupe.
J’avais des chansons. Alors voici Signal Faible. »
Artisan discret de l’underground francophone depuis la fin du XXème siècle, Nicolas Falez a parsemé son sillon de cinq albums tous salués pour la qualité de leurs textes et l’élégance de leurs arrangements, nourris aux sources du folk et de la pop indé. Ses deux premiers groupes, Superflu et Fontaine Wallace, lui ont donné l’occasion de façonner un charme et un style que sa nouvelle aventure collaborative, Signal Faible, déploie avec la même authenticité.
Avec ces nouvelles chansons enregistrées dans le bocage mayennais et à Paris, Signal Faible tourne le dos aux processus de studio pour se saisir de la fragilité et des accidents : un parquet qui grince, ou un oiseau qui chante se glissent dans ces chansons ornées du bois des guitares, du cuivre des trombones et de la chaleur des voix.
« Des voix », car cette aventure-folk s’écrit au pluriel grâce à une pléiade insoupçonnée : Nicolas Falez a convié Cabane, Arlt, Adam Snyder (ancien clavier de Mercury Rev), Christian Quermalet et Thomas Rocton (tous deux membres de Married Monk) et Jérôme Castel à s’emparer de chaque composition pour charpenter l’essence d’un folk collaboratif. Et sur la chanson Soustraction, pas moins d’une dizaine de voix sont réunies dans une tendre procession d’adieu : Bertrand Betsch, Julie Bonnie, Jérôme Castel, Alexandre Delano, Julie Gasnier, Gontard, Lonny, Nesles, Julien Orso Jesenska et Silvain Vanot.
L’odyssée de Signal Faible – et de son équipage – s’écrira en feuilleton : un single par mois, accompagné à chaque fois d’un vidéo-clip artisanal. Au rythme du calendrier des Postes, chaque chanson se fera brique pour construire une maison ouverte. Dans ses pièces résonnent des chants amis (la reprise de Ce Soir particulier de Brome) et de précieux souvenirs comme ce Une Lumière neuve (pour cette vieille nuit) de Superflu, revisitée en guitares hantées.
Début des travaux ? Mars 2023.
« On y entend une forme de bucolisme, de retour à la terre, vers un ralentissement du rythme, une marche arrière vers un monde sans réseau et un pays sauvage que l’on avait délaissé ; vers une poésie revenue. »
– Magic RPM
« Un folk chaleureux et attachant »
– France Inter
« Le chanteur-guitariste reste constamment au centre avec sa folk lo-fi délicate
portée par ses mélodies et sa voix au service de textes troublants. »
– Rock & Folk
« Signal Faible convie des artistes discrets et talentueux. Une aventure au pluriel et surprenante. »
– Persona
« Addictif voyage intime et touchant »
– Sud Ouest
« Disque vibrant et ultra-sensible, « Nom de Domaine » est en quelque sorte le parfait contraire d’un monde virtuel aseptisé mais de plus en plus inhumain. L’humanité qui traverse l’album est, elle, fulgurante, palpable, bouleversante. »
– Indiepoprock
« (…) une musique intime par son écriture raffinée, juste et imagée mais également universelle par son ambiance chaleureuse et dépouillée. »
– À Découvrir Absolument
« Ce qui fait la force de Signal Faible, c’est cette introspection vibrante tout en explorant toute l’ambivalence de la vie à bon escient. »
– Les Oreilles Curieuses
« (…) un petit miracle auditif. Tout parait ici simple et sensible. On est immédiatement happé par les textes et cette voix reconnaissable entre mille. C’est unique et universel. »
– Soul Kitchen
« Le contenu est aussi raffiné que la présentation. Les textes sont sensibles, images, ils parlent a nos sens autant qu’a notre coeur. »
– Le blog de Mandolino
« Album inattendu. Très réussi qui plus est. »
– La Magic box
« Magnifique. »
– Music, Books & Poems